Isabel Aguilar
Petite fille du poète appaméen Roger Bardou, Isabel Aguilar a embrassé la littérature dès son enfance et, à l’âge de 16 ans cette passion s’est renforcée, suite à une jolie rencontre à la Bibliothèque pour Tous de Pamiers avec Mademoiselle Bellègue professeur retraité de Lettres Philosophie, qui fut collègue et confidente de Marcel Pagnol au Lycée de Pamiers. Après ses études de lettres, elle part pour l’Amérique Centrale, en poste au Service Culturel de l’Ambassade de France au Panama et au Costa Rica où elle est chargée de la francophonie (presse, radio, expositions…). Plus tard, c’est une rencontre avec la peintre Maddy de la Giraudière qui la confortera dans l’univers poétique. En 2018, elle crée le Salon du Livre de l’Abbaye de Saint Polycarpe et en 2020 elle succède à Alain Clastres à la présidence des éditions de l’Acala.
Suite au décès de son père, emporté par la pandémie, Isabel Aguilar s’est mise à écrire sur le souvenir, ce qui a donné naissance à son ouvrage « Le jardin des étoiles », un recueil de poèmes mêlant introspection et vagabondage, dédié à son père. Cet ouvrage a été publié aux Éditions ACALA et préfacé par Christine Clairmont Druot, nominée en 2000 pour le prix Nobel de poésie: « Sur un chemin initiatique, une flânerie poétique où vagabonde la musique. »
« Au cœur de la nuit sans voile voguent les étoiles… » (extrait du livre)
Dans son nouveau recueil de poésies, « Les fleurs du ciel », le lecteur retrouvera les successions d’imageries féeriques proches de la poésie japonaise de son précédent ouvrage " Le jardin des étoiles " où la musique des mots se conjugue avec les images.
Avec " Les fleurs du ciel " l’auteure invite à une contemplation de la nature au rythme des saisons et évoque les mystères de ce monde entre mélancolie et allégresse.
Elle est sociétaire de la Société des poètes français, membre du cercle littéraire Les gourmets de lettres de Toulouse, placé sous l’égide de l’Académie des jeux floraux, membre de l’Association des auteurs d’Occitanie et de Catalogne et enfin membre de l’association " Au fil de l’Aude et des mots ".
Isabel Aguilar est, par ailleurs, à l’origine de plusieurs salons littéraires en Occitanie.
Dans ce recueil, on retrouve comme dans « Le Jardin des Étoiles » et les « Fleurs du Ciel » d'éphémères successions d'imageries féeriques illustrées de photographies et de haïkus comme dans la poésie nippone.
Les Pierres naissent dans les entrailles de la Terre et exercent une fascination.
C'est là toute leur magie et leur poésie.
Dans cette escapade minérale, la Terre est un écrin précieux où gisent des joyaux bruts, matière d'univers qui nous affilie aux constellations et nous ouvre sur le Jardin des Étoiles.
Jouant avec les mots qu'elle entraîne dans une danse éphémère, Elle écrit une partition musicale vibrante de poésie. Ses mots virevoltent et se posent en accord parfait.
Entre Terre et Ciel.
Entre Visible et Invisible, l'auteure nous invite au voyage « sur un chemin initiatique »...
Entrons dans son « Jardin des Étoiles »...laissons-nous guider et tel un philosophe antique cultivons l'art de la maïeutique.
Merci Isabel pour cette « flânerie poétique », source d'introspection et d'enrichissement personnel.
Puissiez-vous, chers lecteurs, vibrer au rythme de ses mots où « vagabonde la musique » en élans enchantés en suivant « le Ruisselet de l'Humilité »...
Danièle Augé
« Loin des cailloux de la souffrance, la poésie d'Isabel Aguilar vibre de ses mots irisés qui roulent sur les maux brisés. Entre pluies et soleils, à l'écoute des épiphanies de la nature qui l'entoure, elle traque l'étincelle de la beauté jusqu'au coeur de la nuit et accueille l'Étoile, le magicien surgi au coin du chemin ou l'oiseau acrobate, messagers de résilience. »
Jean-Pierre Caralp
« On a envie de fermer les yeux, de savourer le goût de l'instant qui passe car la poétesse s'est emparée par ses phrases d'un monde unique, étranger à tout ce que la poésie a offert jusqu'ici aux êtres humains. »
Christine Clairmont Druot
Dans ce recueil, à l'image du précédent « Le Jardin des Étoiles », on retrouve d'éphémères successions d'imageries féeriques comme dans la poésie nippone.
« Les Fleurs du Ciel » : une ode à la Nature.
La musique des mots se conjugue avec les images qui la magnifient.
Les vers, les métaphores, les mots agencés comme des notes de musiques sur une partition, racontent les émotions reçues comme des fleurs tombées du ciel.
L'auteure nous invite à contempler la Nature dont les couleurs comblent nos yeux entre Terre et Ciel.
Elle nous parle, nous raconte les mystères de ce monde et son ton oscille entre mélancolie et allégresse.
La quintessence de la Nature respire, et le coeur bat au rythme des saisons qui s'écoulent à l'infini dans le temps.