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Françoise Bachmann-Lévy

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Françoise Bachmann Levy est née le 27 décembre 1960 à Strasbourg. Son enfance baigne dans la musique ; une mère qui adore chanter, un père qui joue du trombone, un oncle organiste. À 7 ans, elle prend ses premières leçons de piano. Quel plaisir ! Elle retrouve des sensations semblables avec la lecture. Puis l’écriture s’invite, notamment par le biais de chansons dont elle compose également la musique. Professeur de piano à 20 ans, elle puise dans les pédagogies et les méthodes d’apprentissage pour adapter ses cours à ses nombreux élèves. De cette quête est née son premier roman intitulé Frédéric, Ludwig et le troubadour.
Parce qu’elle aime se lancer des défis, elle bascule dans un tout autre monde professionnel à partir de 1994. Au sein du Conseil de l’Europe, elle travaille d’abord au Service des Technologies de l’Information puis à la Direction des Droits de l’Homme, Division Médias et Société de l’Information. C’est là qu’elle sera amenée à rédiger des articles et un bulletin d’information, à gérer le contenu d’un site Internet et à faire le suivi de publications. Une autre forme d’écriture…
Elle s’installe dans l’Oise durant trois ans. Elle y exerce en tant qu’écrivain public et y écrit Grandir à Strasbourg dans les années 1960 et 1970 puis le roman policier Le grand ange rose de Strasbourg, deux ouvrages parus aux Éditions Wartberg. Coup de cœur pour le Tarn-et-Garonne où elle vit depuis 2015, y enseigne le piano et poursuit ses travaux d’écrivain. En février 2021, les Éditions du Bord du Lot rééditent son roman policier Le grand ange rose. En octobre 2022 paraît son roman Je veux être un Homme (Editions du Net). Elle est membre de la Compagnie des écrivains de Tarn-et-Garonne et l’un des membres fondateurs de l’association Les Bords de Tauge créée au printemps 2021 qui a pour objectif le partage d’expériences culturelles et artistiques.

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Qui a tué le libraire Simon Braun, retrouvé mort dans la crypte de la cathédrale de Strasbourg ? Chargé de l’enquête, le lieutenant Antoine Meyer saisit rapidement l’ampleur de ce crime étrange, à l’image de l’immensité de l’édifice. Travaillant avec lui, le charismatique commissaire divisionnaire Yves Pelletier fait appel à Emma Parys, jeune historienne. Alors que les proches de Braun sont interrogés, les recherches d’Emma s’orientent vers l’horloge astronomique de la cathédrale. La capitale européenne est en pleine effervescence, d’autant plus que les faits insolites s’y multiplient. Mais quel lien y a-t-il entre l’assassin et la découverte de la confrérie "Hora est" ? La révélation de l’énigme du mécanisme des lions de l’horloge n’est-elle pas pure légende ? L’enquête se resserre autour de la confrérie : le commissaire Pelletier est persuadé que ses membres ont mis au point une simulation collaborative pour masquer la vérité. Confrontés au meurtrier dans le dédale du "grand ange rose de Strasbourg", Antoine et Emma vont découvrir son incroyable mystère, d’une toute autre dimension.

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Craignant de tout oublier, Simon est sur le point de livrer au monde entier son inconcevable secret. Il décide de s’adresser d’abord à une personne inconnue par le biais d’une annonce dans la presse. Durant quelques mois, il échange des lettres avec Elsa. Simon prétend que son origine est exclusivement constituée de la pensée des êtres humains. Il ne connaît aucune contrainte physique, émotionnelle, matérielle. Ses capacités sont immenses, sa liberté semble totale. Pour convaincre Elsa il retrace les évènements de personnes, traduit des sentiments et formule quelques futurs de l’humanité. Elsa tente de comprendre et de croire. Elle passe par une foule de sentiments, livre ses opinions et un peu de sa vie. Heureuse d’être témoin de l’extraordinaire, elle suit Simon jusqu’au bout de son histoire. Peu à peu, Simon entrevoit sa propre identité. Mais il est sans corps, sans âge, sans expression. Le monde des humains l’enchante et l’effraie à la fois. Rester ou fuir !

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