Bénédicte Riey
Ce roman vous plonge dans l'après catastrophe écologique, où les peuples survivants se sont organisés pour ne pas reproduire les erreurs du passé. En suivant la quête périlleuse d’un petit groupe de missionnaires à travers l’Occitanie, le lecteur découvre le prix à payer pour survivre dans ce monde nouveau.
L'histoire
Au XXIIe siècle, les peuples, malades et affamés, en quête de territoires encore vivables, s’étaient livrés à des guerres sanglantes. Malgré le déclin accéléré de l’humanité, les ressources étaient toujours insuffisantes et par un jeu d’alliances, trois peuples s’étaient formés dans le Sud de la France : les Progrètistes qui pompaient la planète comme si le devoir de mémoire était un concept mort ; les Néoganes qui culpabilisaient d’être des humains et faisaient payer aux rescapés les erreurs du passé ; les Sélectifs qui répondaient à d’intransigeantes règles de vie basées sur le recyclage sans limites. Face à ces trois alternatives, certaines familles, les Indépendants, s’étaient réfugiées dans les montagnes où ils survivaient dans des conditions climatiques extrêmes.
Mais un siècle plus tard, une invasion progrètiste met en péril ce fragile équilibre. C’est alors qu’un petit groupe d’Indépendants est missionné pour parcourir l’Occitanie à la recherche de renfort. Malgré de nombreuses péripéties, ces courageux montagnards arriveront-ils à rallier les peuples vindicatifs de la plaine pour écarter la nouvelle menace ?
L'auteure
Economiste statisticienne à l’OCDE, elle s’est spécialisée dans l’estimation des émissions de gaz à effet de serre à l’Agence Internationale de l’Énergie. En 2003, elle quitte Paris pour Toulouse, où elle rejoint l’Association Régionale pour la Protection de l’Environnement. Toujours dans le domaine de la transition écologique et énergétique, elle est aujourd’hui attachée territoriale à la Région Occitanie. Inspirée par vingt ans d’expérience dans le domaine de l’environnement, son roman « Nous étions trop nombreux » est une fiction d’anticipation écologique qui, espérons-le, ne deviendra pas une réalité…






