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Gérard Lacoste

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L’essentiel de ma vie professionnelle s’est déroulé un peu partout en France dans les services commerciaux et marketing de groupes industriels internationaux.      Longtemps directeur commercial, du marketing et de la communication, j’ai pu mettre à profit mon goût de l’expression écrite et orale. Parallèlement, J’ai été durant quelques années journaliste pigiste pour divers mensuels professionnels.

           

            J’ai publié un recueil de nouvelles ainsi que deux romans et un récit de voyage aux éditions ACALA.

                       

            Je vis à Toulouse, que j’ai souvent quittée pour toujours y retourner…

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Lucile ira t-elle « là-bas », rejoindre Hadrien à Brosoire, village de montagne sévèrement meurtri par le chômage ?Hadrien s’y rend seul pour remplir la mission qui devrait lui permettre d’accéder à une promotion au sein du Groupe Arbeix.Il doit redonner confiance au personnel de l’usine pour relancer un produit qui évitera la fermeture.« Là-bas », il découvre une situation difficile, la dureté du climat et le caractère rugueux des habitants.Ce moment d’attente va-t-il lui permettre de concrétiser ses espoirs de promotion et de clarifier sa vie privée ?

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Abandonné par sa mère, Gontran est un garçon fugueur qui a passé son enfance dans des familles d’accueil. Après son BTS, il trouve un emploi qui satisfait son manque d’ambition. Il a recours à un psychiatre qui devrait l’aider dans son parcours de résilience. Il nourrit son imaginaire avec les vieux films américains qu’il regardait avec Francette dans son enfance.Comptable déçu par des pratiques qu’il juge douteuses, Jean-Pascal espère assumer sa vocation de missionnaire en œuvrant dans le reclassement de personnel licencié. Loin de son village natal, tourmenté par le suicide de son père, il souffre continuellement de palpitations. L’impasse où il guide quotidiennement des chômeurs sans espoir amenuise son espérance.Englués dans la fange de leur passé, c’est dans la rue du Clair Obscur qu’ils trouveront un répit. Leurs vies parallèles y convergeront vers Salhia, fille à la dérive qui tangue dans l’obscurité, captivante brune aux yeux noisette, jeune mère prostituée et technicienne de surface sans emploi. Ils seront les mentors maladroits de sa reconversion, elle sera le révélateur frelaté de leur image floue.

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Sur les chemins de Compostelle, les pèlerins viennent souvent de très loin pour marcher vers Santiago en empruntant les nombreux Caminos qui sillonnent l’Espagne. Durant quelques heures, quelques jours ou plus longtemps, dans un anglais souvent imparfait, des échanges brefs ou plus élaborés permettent de découvrir toutes sortes de personnalités.

Sans considération de temps ou d’espace, ces marcheurs au long cours reviennent dans ma mémoire et m’accompagnent à nouveau comme sur le Camino. Je les ai rappelés, sous les traits d’Aurélien, pour en faire leur portrait.

« Qu’importe les ampoules aux pieds et les articulations douloureuses. La chaleur et les intempéries, le manque de sommeil et la nourriture expéditive, le corps qui gémit et l’esprit qui doute, plus rien ne saurait entamer la certitude de parvenir à Santiago. Sur les dernières étapes, le pèlerin peut tout endurer, repousser encore les limites dans un ultime effort, contraindre son corps de l’amener au bout sans le ménager. Plus tard, lorsque la vie de tous les jours aura repris son cours, on réparera les affections que l’on a négligé, trop occupé à marcher, absorbé par le Camino. »

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